Vivre sans enfant après un parcours de PMA, article fiv.fr

Choix ou circonstances – Comment les couples envisagent-ils l’avenir sans enfant ?

Ne pas avoir d’enfant malgré soi est encore un sujet largement tabou, mais il est possible de vivre une vie heureuse, épanouie, pleine de sens et agréable sans enfant.

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5 réflexions sur “Vivre sans enfant après un parcours de PMA, article fiv.fr

  1. C’est bien dit ! Je confirme que ça prend du temps à accepter et ça reste une cicatrice douloureuse mais avec le temps il faut espérer que les couches de l’âme et du cœur vont petit à petit sembler moins à vif
    Nous avons décidé d’être heureux et ne pas gâcher la vie que nous avons …. un art pas simple à pratiquer mais quand on y arrive on se rend compte que ça vaut le coup … ça rend son couple encore plus solide (les épreuves rapprochent aussi).

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    1. Une amie m’avait dit que le temps du deuil pouvait être relié au nombre d’années d’essais. Il est vrai que j’ai consacré de nombreuses années à ce désir d’enfant (depuis 2003) et j’ai l’impression que l’acceptation pour ma part est le travail de toute une vie quand on a pendant si longtemps espéré. Mais je ressens que petit à petit les moments de bonheur prennent le dessus sur ces moments plus douloureux. Puis comme tu le soulignes pour le couple cette épreuve peut aussi devenir une véritable preuve d’amour.

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  2. je ne sais pas quoi en penser. Il y a sans doute des vérités dans cet article, mais je crois qu’elles ne sont pas vraies pour tout le monde.
    histoiredendométriose parle de cicatrice douloureuse, et je rejoins cet angle de vue… encore faut-il cicatriser un jour!
    Pour ma part, je ne sais même plus compter les années après l’arrêt de la PMA (3 ans peut-être 4), mais je ne peux pas dire que j’en sois au stade de la cicatrice refermée. Non, elle se rouvre constamment. Pire, d’autres brèches s’ouvrent, voire suppurent. Ce que je croyais être la fin d’un cauchemar n’a fait que révéler d’autres choses plus profondes, plus douloureuses et tout aussi peu « cicatrisables ». Je ne sais pas comment font les autres pour (sur)vivre avec de telles béances, mais je les envie. Tous ces points soulevés dans cet article me font mal, ils ne font que souligner tout ce qui m’est inaccessible. J’ai envie de croire que pour certain(e)s cela suffise à « se remettre ». Et j’aimerais qu’on dise aussi que d’autres ne s’en relèveront jamais, puisque c’est aussi une réalité.

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    1. Je comprends ton point de vue car je trouve que les dernières lignes de cet article qui se veut rassurant manquent de nuance car ce chemin est loin d’être linéaire et si simple. J’ai d’ailleurs tenté de témoigner par ailleurs pour expliquer ces allers et retours permanents mais j’ai bien peur que cette réalité fasse si peur que l’on veut avant tout montrer que l’on peut être heureux sans enfant. Je sais que cette cicatrice sera toujours ouverte car c’est un travail sur soi de chaque jour, mais c’est à la fois ma force et ma fragilité. Je préfère voir la vie en bleu plutôt qu’en rose ;-).
      Je t’embrasse bien fort

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      1. C’est ça, la vie en bleus (en hématomes, quoi! -oui le pluriel s’impose!) ! 😉
        Des bises itou!

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